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WUCC Mixte : Mixtape et les autres.

Mixte :


Dans la plus grosse division du mondial (48 équipes au lieu de 40 pour les autres) qui a certes, la plus grosse diversité de nations (25 nations représentées), on attendait plutôt un cavalier seul des équipes nord-américaines qui ont l’habitude de survoler cette division.


Si ça a effectivement été le cas pour le nouveau champion du monde : Seattle Mixtape qui n’a aucune victoire à l’universe et a survolé sa finale, les trois autres équipes (+ Meclao’) des États-Unis terminent avec deux défaites.


France :


Deux équipes françaises étaient au mondial. Si le champion de France, présent en 2018, Sesquidistus a fait l’impasse, Paris et Grenoble étaient de sortie.


Les Monkeys terminent à une superbe 13ème place. Bien emmenés par l’expérience internationale de Guillaume Espitia, Pauline Rigollier et Pierre Gruau encadrant une jeune relève avec Brice Nemoz, Pauline Berte ou Coralie Fouquet, l’équipe s’est offert le scalp des champions du Danemark (Njord), ceux de Singapour (Otters) et gagne les solides équipes de Macondo (Colombie) ou les Allemands de Disconnection. Le point d'orgue reste ce 1/8 ème de finale contre le futur finaliste Red Flag perdu 15-13 mais où l’esprit du jeu affiché par les Canadiens laisse un goût plus qu’amer car il ne semble pas loyal, et ne permet pas vraiment d’accepter cette défaite comme un résultat juste. Ce match a aussi déclassé les Grenoblois de la 3ème à la 6ème place au classement du spirit.


PUC, champion d’Europe master mixte en titre, termine à la 25ème place. Une performance plutôt bonne pour l’équipe ayant recruté les sœurs Bornot, qui ont crevé l’écran dans les stats. Le seul match qui pourrait laisser des regrets pourrait être l’universe perdu contre SMOG 1, qui termine 2 places en dessous d’eux, mais les écarts dans les autres matchs semblent indiquer que Paris est à sa place en étant 1ère de la seconde partie de tableau


Monde


Amérique du nord :


Les USA ne tiennent pas les rankings 1 à 4 et prennent les places 1, 6, 7 et 9 (Meclao’ 10ème), le Canada obtient salement une place en finale avec Red Flag dont la note en spirit se dégrade fortement quand l’enjeu du match apparaît, y compris en finale devant les caméras. L’équipe n’a eu la moyenne que quand les matchs étaient gagnés avec plus de 7 points d’avance. Derrière cette mauvaise vitrine, les autres équipes terminent 11, 19 et 26ème du classement, plutôt en dessous de l’attendu.


Amérique latine :


Avec les Argentins de Hammers Buenos Aires (35ème), les Uruguayens de Charrua (43ème), les Panaméens de Two Océans (28ème), il y a avait un vent de fraîcheur dans cette division. Mais ce sont toujours les Colombiens qui restent les plus forts, 15, 16, 30 et 35ème de cette division. Le club mexicain de Condor était observé et attendu, ils terminent à une dernière place très décevante que la 4ème place au spirit ne compensera pas.


Asie :


Si Hong Kong (Fireflies) dernier, la Corée du Sud (Baekho) 45ème, et les Indiens High Tide 37ème ont surtout amené de la diversité, on notera la belle performance de l’équipe de Singapour (Otters) 20ème alors que les Japonais ont vécu un mauvais mondial - IKU! 12ème, Crazy 18ème, Ratels 32ème (covid) - en dessous des performances habituelles.


Océanie :


Avec Lunch Box en bronze, le mondial est réussi, les autres sont loin, 33ème et 41ème, mais peu importe, la relève semble là pour l’Australie. On notera l’absence de Néo-Zélandais, souvent en haut de l’esprit du jeu.


Europe :


Grosse performance de Puti qui a effectué un super mondial, en dehors de la demi-finale et améliore son ranking de 8 pour finir 4ème. Grut qui était attendu, a répondu présent et termine à une superbe 5ème place. Ils n’auront perdu qu’un seul match, face au champion du monde, de quoi laisser des regrets… D’autant qu’ils battent en fin de tournoi 2 équipes US montrant que c’était l’année pour une médaille, mais pas le bon tirage. Reading réalise la meilleure performance d’une équipe britannique en mixte (8ème), bonne performance pour Alligators (Italie, 17ème), Disconnection (Allemagne, 14ème) ou Njord (Danemark, 22ème) attendus plus bas.

Smog 1 termine à une décevante 27ème place alors que son équipe 2 qu’on pouvait imaginer loin s’en sort bien avec sa 29ème place.



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