Pourquoi les "revues de presse"
Aujourd'hui, Focus s'inscrit dans une procédure globale de médiatisation de notre sport. Si au début la fondation de l'association s'est faite par lassitude de voir toujours les mêmes articles généraux et un manque de visibilité, on peut se réjouir d'une évolution positive de cette situation au cours des dernières années.
Actuellement, boosté par une euphorie globale regroupant : les efforts joints de la formation des clubs, la communication des clubs, les efforts de la fédération et dopés par des résultats ultra-positifs des équipes nationales, notamment juniors, de nombreux contacts ont été pris par des clubs locaux avec des presses, notamment régionales et permettent de continuer le processus de médiatisation progressive de notre sport.
Car oui, aujourd'hui on en est là : on rentre progressivement dans une étape qui est cruciale pour notre sport : la banalisation de notre sport dans le paysage sportif français. Devenir un sport parmi les autres, et non plus un jeune sport en développement apportera à notre sport la crédibilité politique nécessaire pour continuer son développement. Plus de "ce sport sympathique" ou "loin des clichés habituels" sans parler des références canines ou du renvois systématique à un sport de détente sur la plage. Ces revues de presse fréquentes permettent la construction d'une image globale qui pousse progressivement le journaliste à toujours aller plus loin, parler moins du sport et parler plus des résultats.
Ainsi, oui on partage, et partagera systématiquement les articles qui parlent de notre sport. En tant que média de l'ultimate, c'est un devoir que de participer à la visibilité de ces articles qui donnent de la visibilité à notre sport. Avoir des résultats en lecture sur ces articles motiveront les journaux à continuer de faire des articles. Vivent les journaux qui parlent d'ultimate, et vivent également les médias spécialisés (longue vie à John Kofi) qui parlent de notre sport.